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En 1792, lors de la Révolution, le Palais Gallien devenu bien national est vendu par la municipalité en quête de ressources … Il servira de carrière, et de décharge. En 1795, plusieurs terrains sont vendus et des immeubles viennent remplacer le Palais. En 1801 c’est Lucien Bonaparte frère de Napoléon qui fait suspendre la démolition et prend un arrêté de conservation, … Classé en 1840, c’est de 1887 à 1888 que des travaux de conservation sont entrepris sous la direction de l’architecte en chef de la ville.
Vomitoire*1 : Large passage qui servait à évacuer la foule (d’un théâtre, d’un amphithéâtre)
Quelques photos de l’assistance attentive à la présentation de notre guide …
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Première station sur le parvis … sous la place une crypte témoigne de la présence d’une nécropole gallo romaine du IV et VI siècle
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Deuxième station : Descente dans la crypte de la basilique Saint Seurin où l’on trouve le reliquaire de Saint Amand, les tombeaux de Saint Delphin, de Saint Seurin, de Bénédicte, de Sainte Véronique, Parmi ces sarcophages au chrisme et rinceaux, y serait présent celui du saint patron de l’Aquitaine : Saint Martial, marquant la mémoire chrétienne bordelaise par son attribut : un bâton miracle faisant la pluie et le beau temps.
Chrisme*2, avec les lettres « alpha » et « oméga ».
Vue générale de la crypte
Pour plus de documentations (ici)
– Rinceau*1 : motif ornemental fait d’une tige végétale décrivant des méandres (avec des feuilles ou des fruits de part et d’autre).
– Chrisme*2 : monogramme du Christ, formé des deux premières lettres de son nom en grec (X, P) ainsi que de l’alpha et de l’omega.
– Cénotaphe*3 est un monument funéraire élevé à la mémoire d’une personne ou d’un groupe de personnes et dont la forme ou l’ornementation rappelle un tombeau, mais qui ne contient pas de corps
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